« Et si c’était ta mère ? Tu la laisserais mourir sans rien tenter ? Moi non ». L’inscription choc s’étale sur une pancarte qu’Annie Kendek a plantée, ce jeudi après-midi, devant l’une des entrées de l’hôpital central de Nancy. Cette habitante de Longeville-lès-Saint-Avold en Moselle veut à la fois interpeller le public et entamer une sorte de bras de fer avec l’établissement hospitalier nancéien. Plus précisément avec l’équipe médicale qui soigne sa mère, Jeannette Ongbemba.
« Je ne peux pas tuer ma mère »
Cette dernière a 65 ans et se trouve au service réanimation. Selon sa fille, elle aurait fait un malaise fin mai alors qu’elle gardait ses petits-enfants en Belgique. « Elle m’a appelée un…