La « horde d’hommes en rut » qui s’invite jusqu’à trois fois par semaine dans les sous-sols de cette résidence cossue de la rue d’Alleray (XVe), à Paris, a-t-elle participé à ses derniers « événements libertins sur mesure » ? La Factory, nom donné à cette organisation (légale) d’orgies, « doit fermer ses portes pour une transformation imposée », indique en ligne son mystérieux boss, « Z ».
Depuis les révélations du Parisien en novembre 2024 quant à l’existence de ces pratiques moralement discutables mais dans les clous sur le volet administratif, les autorités tentent de trouver la moindre faille afin de faire cesser ces soirées au cours desquelles une femme est placée au centre des attentions de plusieurs hommes, moyennant une entrée à 80 euros pour ces derniers.