Ain’t No F**king Artist, retour au rock

« C’est parti de Corentin qui écrivait de la musique seul. Sauf que le rock, c’est quand même plus cool de le jouer à plusieurs. Au départ, on venait juste rajouter notre savoir-faire. Maintenant, c’est vraiment un projet pensé par tous, avec une écriture commune et une direction artistique décidée à trois. »

Louis Guémard, batteur pour Ain’t No F**king Artist.

« Du rock dans ce qu’il se fait de plus simple »

De cette formation, très inspirée du groupe français The Last Train, naît un premier EP (N.D.L.R. Extended Play, disque d’une durée plus longue que celle d’un single et plus courte que celle d’un album), Breathless.

Dans la foulée, le trio crée sa propre structure de production, Death Match Productions, ainsi que son label.

Dernier projet à écouter sans modération : leur deuxième EP « Change It All », sorti en avril.

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« C’est du rock dans ce qui se fait de plus simple. La musique est assez classique dans l’absolu, mais avec de l’amour pour les mélodies. On essaye d’être le plus énergique et le plus efficace dans ce que l’ont écrit. »

Louis Guémard, batteur pour Ain’t No F**king Artist.

Un amour pour la scène

Mais c’est sur scène qu’Ain’t No F**king Artist montre vraiment son talent.

« Il y a l’alchimie entre nous trois et celle avec le public. On passe trois quarts de notre temps à écrire, enregistrer, préparer… Le dernier quart, c’est vraiment jouer la musique sur scène, avoir ce sentiment agréable de pouvoir enfin montrer le travail qui a été fait pendant des heures. »

Désormais, les prochains mois seront consacrés à la tournée pour présenter leur dernier EP. Et bonne nouvelle, « on commence à discuter d’un nouvel album, même si ce n’est pas pour tout de suite… »

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