Sur la place de la Providence (1er), les passants perplexes observent les aménagements provisoires qui ponctuent l’espace partiellement dégoudronné. Une petite dizaine de rochers bariolés, deux pergolas en bois, quatre bancs et un riverain. « C’est désert, ça fait sale, ça ne sert absolument à rien », maronne la gérante du Bar Tabac La Française, à l’angle de la rue Longue des Capucins.