De toute éternité – au moins depuis l’an 600 avant J.-C. – la passe du Lacydon a constitué un obstacle aux déplacements des Phocéens vers la rive sud. À la fin du XIXe siècle, de nouvelles solutions techniques émergent pour s’éviter les deux kilomètres depuis le fort Saint-Jean au nord jusqu’au bassin de carénage au sud. Les options d’un pont ouvrant ou tournant sont écartées.