Réagissant à la décision du Conseil constitutionnel du 7 août concernant la loi Duplomb, Chantal Cutajar, présidente de CAP 21 – Le Rassemblement Citoyen, salue la censure de la réintroduction des néonicotinoïdes , mais dénonce « l’essentiel du texte validé » qui affaiblit, selon elle, « la protection du vivant, l’accompagnement du monde agricole et le débat démocratique ».

Dans l’Eurométropole de Strasbourg, CAP 21 craint pour l’indépendance du conseil agricole, la transparence sur l’usage des pesticides, le droit à l’information des habitants et la capacité des collectivités à encadrer l’agriculture intensive.

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À l’approche des municipales de 2026, le mouvement appelle à « un débat local sur la préservation de l’eau, de la terre et du vivant » et à un modèle agricole « sobre, équitable et respectueux du vivant ». « Les agriculteurs veulent vivre dignement de leur travail, cette exigence sociale est indissociable de la transition écologique et démocratique », insiste Chantal Cutajar.