HUMEUR – Acteur majeur du sacre parisien en C1 et membre influent du vestiaire, le portier italien se voit montrer la porte. Déclassement express d’un géant.

Paris, son univers impitoyable. Il y a un peu plus de deux mois, le 31 mai dernier, le Paris Saint-Germain célébrait son premier titre de champion d’Europe à Munich, après un récital contre l’Inter Milan (5-0) en finale de Ligue des champions. Un match lors duquel Gigio Donnarumma n’a pas eu besoin de forcer son talent. À Munich, Paris a triomphé grâce au jeu, à la qualité de son pressing et au génie de Luis Enrique. Un sacre qui n’aurait toutefois pas été possible sans les prouesses du portier international italien (74 sélections) de 26 ans, si brillant à Anfield, sur le terrain d’Aston Villa ou encore lors de la double-confrontation face à Arsenal. Géant. Légende.

En six mois, Gigio a effacé les doutes, chassé les critiques, évacué les questionnements nés de ses échecs passés, comme lors du crash à Madrid face au Real par exemple, en 2022. Un déclic ? Les crampons du Monégasque Wilfried Singo fin 2024 sans doute. Le management agressif de Luis Enrique n’y est peut-être pas pour rien…

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Le Figaro

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