Une grande force de caractère. Contrairement à ce que certaines
personnes disent,
Marie Garet en a fait preuve dès ses débuts.
Aujourd’hui âgée de 40 ans, l’infirmière libérale s’est
faite repérer dans Secret Story 5, qu’elle a
gagné en 2011. Elle a ensuite enchaîné avec plusieurs autres
émissions de télé réalité. Le public se souvient de son passage
dans Les Anges 4, aux côtés de
Nabilla notamment. Elle s’y était rendue avec l’amour
de sa vie, Geoffrey, qui n’avait pas hésité à la larguer
sous l’oeil des caméras.
Le Ken de la télé n’est malheureusement pas (du tout) le seul
homme à avoir fait du mal à la jeune femme. Elle a aussi vécu des
violences conjugales de la part d’un de ses exs. Elle est
revenue sur cet épisode très noir de sa vie auprès d’une
journaliste de Public. Comme elle l’a raconté, à une période,
elle se faisait « fracasser tous les jours une bonne
partie de la nuit » par celui qu’elle aimait.
Marie Garet révèle ce qui lui a sauvé la vie
Dans ces conditions horribles, l’infirmière devant quand même
assumer les responsabilités qui incombent à son métier. « Le
matin, il fallait se lever. Et c’est pour ça que jamais je
ne pourrais me permettre d’arrêter mon métier, car
vraiment, c’est quelque chose qui m’a sauvée,
c’est mon ange gardien », a-t-elle confié à propos de cette
rigueur et de ce cadre que lui apportaient sa profession.
Aujourd’hui, Marie Garet ne vit plus avec cet ex qui la battait.
Elle a néanmoins livré être « toujours
sous emprise d’un ex compagnon ». « Le procès ne va pas
tarder à arriver mais je suis toujours sous emprise et je
ne pense que ça ne se guérit pas. Je pense qu’il faut
aussi arriver à comprendre pourquoi il y a une reproduction de
schéma à ce point », a analysé celle qui a révélé être
accompagnée par un psychologue et un psychiatre pour s’en
sortir.
L’ex candidate des Anges a un message à
faire passer
Aujourd’hui, l’ex star de téléréalité aspire à mener une vie
plus apaisée. Son combat ? Libérer la parole sur les
violences physiques et psychologiques. « C’est
important pour que ça ouvre la porte à toutes ces femmes qui vivent
des violences conjugales, que ce soit physique, financier,
psychologique. Il faut qu’on en parle pour qu’elles aussi, elles se
disent qu’elles peuvent s’en sortir ! », a-t-elle fait
remarquer, combattive.