Un cas peu courant de «road rage», c’est-à-dire de conduite extrêmement agressive, a occupé la police mercredi matin dans la zone frontalière germano-luxembourgeoise.
Vers 10h25, selon le rapport de la police de Trèves, un semi-remorque et une Seat bleue ont d’abord circulé côte à côte sur l’autoroute A64 en direction du Luxembourg. En raison du chantier qui commençait à cet endroit, la voie de droite était coupée et le camion a dû changer de voie. Selon les informations disponibles jusqu’à présent, un «désaccord» s’est produit entre le conducteur de la Seat, âgé de 55 ans, et le conducteur du camion, âgé de 35 ans.
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Le camion s’est ensuite rangé derrière la Seat, et après le chantier, il y a probablement eu un nouveau «changement de leader», que le conducteur de la Seat n’a probablement pas voulu accepter, car il a ensuite dépassé le semi-remorque et freiné. Une collision s’est alors produite entre les deux véhicules.
Sous l’effet du choc, le côté conducteur de la Seat s’est retourné vers l’avant du camion. Le conducteur du semi-remorque a ensuite poussé la voiture devant lui sur environ 1.500 mètres et ne s’est arrêté qu’au niveau de la sortie de l’aire de repos de Wasserbillig au Luxembourg.
Personne n’a été blessé dans la collision. La Seat n’était forcément plus en état de marche et a dû être remorquée.
Recherche de témoins
La police n’a pas hésité: les permis de conduire des deux conducteurs ont été confisqués sur ordre du parquet. Tous deux font désormais l’objet d’une enquête pour diverses infractions au code de la route. La circulation a été légèrement perturbée dans la zone.
La police luxembourgeoise et le poste de police autoroutier de Schweich sont intervenus. Les témoins qui ont assisté à la scène et qui ne se sont pas encore manifestés auprès de la police sont priés de prendre contact avec le poste de police autoroutier de Schweich au 0049-6502-91650.
Cet article a été publié initialement sur le site du Luxemburger Wort.
Il a été traduit à l’aide d’outils d’intelligence artificielle qui apprennent à partir de données issues de traductions humaines, puis vérifié par Simon Martin.
Source Polizeipräsidium Trier