Île de Jeju, vivre avec la mer au Centre Culturel Coréen
Avez-vous déjà rêvé de nager aux côtés des haenyeo, ces mystérieuses plongeuses en apnée originaires de l’île de Jeju ? Avec sa nouvelle exposition, le Centre Culturel Coréen embarque les visiteurs pour une immersion au cœur de cette île volcanique du sud de la Corée, territoire à la fois sauvage, spirituel et habité par des siècles de traditions. Île de Jeju, vivre avec la mer révèle une culture maritime rare, façonnée par des femmes d’exception, dont la force tranquille et la solidarité défient vents et marées. Le parcours retrace le lien entre les habitants de Jeju et leur environnement, dans un hommage vibrant à une île façonnée par la mer… et par les femmes qui la prennent chaque jour.
Île de Jeju, vivre avec la mer
Centre Culturel Coréen
20, rue La Boétie – 8e
Jusqu’au 6 septembre
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Superfacial au Quai de la photo
Audrey Tautou n’a jamais vraiment aimé les projecteurs, ou du moins ce qu’ils reflètent, mais peut-être préfère-t-elle son image capturée par l’objectif d’un appareil photo. Depuis quelques années, et alors qu’elle a mis de côté l’acting, c’est dans la photographie qu’elle s’épanouit. En témoigne Superfacial, sa toute première exposition parisienne, au Quai de la Photo, dans laquelle l’interprète d’Amélie Poulain se joue des apparences et détourne l’autoportrait pour en faire une expérience à la fois plastique et personnelle. Au fil du parcours, composé d’une cinquantaine de tirages, elle questionne son image, la notoriété et le regard que la société – et elle-même – pose sur son corps, sa carrière, son mystère.
Superfacial, par Audrey Tautou
Quai de la Photo
9, port de la Gare – 13e
Jusqu’au 10 septembre
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L’image comme engagement à la MEP
La Maison Européenne de la Photographie consacre pour la première fois au monde une immense rétrospective à l’une des pionnières du photojournalisme, Marie-Laure de Decker. À travers des clichés bluffants en noir et blanc, l’artiste nous livre une vision du monde entre histoire générale et intimité du quotidien. En traversant la deuxième moitié du XXe siècle avec son appareil, Decker nous propose un voyage dans le temps, au gré des grands événements et bouleversements de son époque. Une exposition qui met en avant le talent, le courage, la détermination et la passion de cette femme hors du commun.
Marie-Laure de Decker – L’image comme engagement
Maison Européenne de la Photographie
5/7, rue de Fourcy – 4e
Jusqu’au 28 septembre 2025
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Haïkus d’argent au Musée Guimet
Véritable pionnier de la photographie minimaliste, Michael Kenna s’est longtemps passionné pour l’Asie, sa culture et sa richesse. Et c’est ce pan de son art que le Musée Guimet met aujourd’hui à l’honneur, en organisant la première rétrospective consacrée à son travail sur le continent asiatique. Une exposition sensible, qui dresse des ponts entre art et traditions, entre créations et rites. Pour renforcer les liens entre le photographe et l’Asie, chacun de ses clichés sera proposé en dialogue avec l’une des œuvres de l’institution dédiée aux arts asiatiques.
Haïkus d’argent, l’Asie photographiée par Michael Kenna
Musée national des arts asiatiques – Guimet
6, place d’Iéna – 16e
Jusqu’au 29 septembre 2025
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Instants Donnés au Musée Maillol
Il était braconnier de l’éphémère, mercenaire de la pellicule, révolté du merveilleux ou encore pêcheur d’images. Jusqu’au 12 octobre prochain, le Musée Maillol nous plonge dans l’œuvre poétique et fascinante de Robert Doisneau, véritable légende française de la photographie. Une rétrospective immense, qui illustre tout le génie de cet artiste qui raconte l’humain comme personne. De salle en salle, ce sont plus de 400 clichés (sélectionnés parmi les plus de 450 000 de l’artiste) qui se succèdent, telles des tranches de vie volées, témoignages inestimables de la poésie de l’instant présent. Petit conseil cependant, on vous recommande fortement de réserver vos billets à l’avance, histoire d’être plus tranquille !
Robert Doisneau. Instants Donnés
Musée Maillol
59-61, rue de Grenelle – 7e
Jusqu’au 12 octobre 2025
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Auschwitz-Birkenau au Mémorial de la Shoah
En 1979, pour Paris Match, Raymond Depardon passe deux semaines sur le site d’Auschwitz-Birkenau. Pour la première fois, les clichés qu’il a effectués sur place sont dévoilés tous ensemble dans une institution parisienne, pour commémorer les 80 ans de la libération du camp. En résulte une exposition absolument bouleversante, qui met en lumière une période sombre de notre histoire. Sur les images en noir et blanc, le camp apparait prisonnier de la neige, et la blancheur immaculée contraste avec la noirceur des bâtiments, et de tout ce qu’ils ont abrité.
Auschwitz-Birkenau vu par Raymond Depardon
Mémorial de la Shoah
17, rue Geoffroy-l’Asnier – 4e
Jusqu’au 9 novembre 2025
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