Mollo mollo, on n’est qu’en août.
Qui des politiciens de droite et des suiveurs de l’OM utilisent le plus souvent le mot « crise » ? Après la première défaite de la saison marseillaise, hier soir à Rennes (0-1), le vestiaire marseillais s’est expliqué. Ici Provence, avance que des « tensions » ont éclaté à la fin du match, que les hommes de Roberto De Zerbi ont disputé une heure à 11 contre 10. Les voix se sont élevées. Roberto De Zerbi aurait affirmé ceci, sans poésie : « Les autres, ils nous battent sur le terrain et nous, on rentre, on se tape ici. Vous savez ce que cela veut dire ? Que l’on a des petites couilles. Alors qu’à Marseille, on doit en avoir des grosses. » Avant de conclure : « c’est la dernière fois que ça arrive. » Il reste 33 matchs de Ligue 1, attention.
Gros Rowe
L’Équipe et RMC Sport parlent respectivement de « frictions » et de « tensions ». Les cordes vocales des cadres ont vibré : Pierre-Emile Höjbjerg, Leonardo Balerdi et Adrien Rabiot ont dénoncé le comportement de certains de leurs coéquipiers à coups de « faut se bouger » et de« on n’a pas le droit de faire ce match ». Jonathan Rowe aurait répondu à ce dernier. Les deux ont terminé tête contre tête. L’OM accueille le Paris FC la semaine prochaine.
Un vestiaire allergique à la défaite, quelle bonne nouvelle.
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