Par
Quentin Piton
| Journaliste Séries – Ciné
Journaliste spécialisé dans les séries, le cinéma, mais également les anime et mangas. Passe son temps libre à écrire des histoires pour les enfants (auteur jeunesse) et à rêver d’Emma Watson, considère Olivier Giroud comme le GOAT et refuse de parler avec ceux qui sont contre la vérité absolue qui est : How I Met Your Mother est une meilleure série que Friends.
41 ans après ses débuts au cinéma, la saga de science-fiction Terminator est toujours considérée comme l’une des plus impactantes du cinéma. Mais alors que James Cameron tente d’écrire un nouveau film (avec ou sans Arnold Schwarzenegger), le réalisateur n’arrive pas à trouver la bonne histoire.
Bande-annonce Terminator Dark Fate © Paramount Pictures
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Lancée en 1984, la saga Terminator est composée de six films dont le dernier en date remonte à 2019 avec Dark Fate réalisé par Tim Miller. Et si la qualité de la franchise n’a cessé de chuter au fil des années, au point de voir ses acteurs renier certains projets, elle continue pourtant d’intéresser le public et… James Cameron.
James Cameron à court d’idées pour Terminator
Quand bien même le réalisateur est actuellement occupé avec Avatar, il reste toujours attaché à cet univers. À tel point qu’il ne serait pas contre l’idée de développer une nouvelle histoire. Une bonne nouvelle, qui se heurte malheureusement à une moins bonne : il est aujourd’hui victime du syndrome de la page blanche causé… par la réalité.
« J’en suis à un point où j’ai du mal à écrire de la science-fiction, a reconnu James Cameron auprès de CNN. J’ai l’objectif d’écrire une nouvelle histoire autour de Terminator, mais je n’ai pas encore réussi à aller bien loin ».
N’allez pas croire qu’il manque de motivation. Simplement, le monde actuel lui vole ses idées. « Je ne sais pas quoi dire qui ne soit pas déjà dépassé par la réalité« , a soufflé le cinéaste.
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« Nous vivons à l’ère de la science-fiction »
Alors qu’il ne cesse de déplorer la place de l’IA dans notre quotidien, James Cameron craint de ne plus être aussi impactant à l’écran qu’à l’époque.
« Nous vivons à l’ère de la science-fiction, a martelé le réalisateur. Et la seule issue pour en sortir est de faire appel à notre intelligence, à notre curiosité, à notre maîtrise de la technologie, mais aussi de comprendre parfaitement les probabilités extrêmes auxquelles nous sommes confrontés. »
Et forcément, dans un pays dirigé par un homme comme Donald Trump, il est difficile d’espérer voir l’intelligence prendre le pas sur le reste…
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