Ce n’est pas la première fois, dans sa longue histoire, que Renault mettrait une roue en dehors de l’auto. Avant l’été, le ministère des Armées français a fait savoir qu’il souhaitait associer le constructeur automobile, en soutien d’une PME tricolore spécialisée dans la défense, à la fabrication de drones destinés aux armées française… et ukrainienne.

« Dans la mesure où nous pourrions apporter une aide industrielle, nous sommes ouverts à la question, a récemment confirmé Jean-Dominique Senard, le président de Renault Group, sans donner d’indications sur le calendrier. Renault sera naturellement présent pour aider mais cela nécessite d’être approfondi avec nos interlocuteurs gouvernementaux. »