Quels objectifs pour la « coalition des volontaires » ?
Le président français Emmanuel Macron, le Premier ministre britannique Keir Starmer et le chancelier allemand Friedrich Merz réunissent ce dimanche à 14 heures en visioconférence la « coalition des volontaires » alliés de Kiev, qui regroupe la plupart des grands pays européens, l’UE, l’Otan, et des pays non-européens comme le Canada.
Les participants devraient aborder, selon des diplomates, la question des garanties de sécurité qui seraient accordées à Kiev dans le cadre d’un éventuel accord de paix.
D’après la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, il s’agirait pour commencer de définir « une clause de sécurité collective qui permettrait à l’Ukraine d’obtenir le soutien de tous ses partenaires, y compris des Etats-Unis, prêts à agir dans le cas où elle serait à nouveau attaquée ».
Le refus de Moscou d’un cessez-le-feu « complique la situation », selon Zelensky
Les Etats-Unis et Vladimir Poutine semblent être tombés d’accord pour un accord de paix, sans passer par la case cessez-le-feu, ce qui « complique la situation » pour le président ukrainien.
« Nous voyons que la Russie rejette de nombreux appels au cessez-le-feu et n’a pas encore déterminé quand elle cessera de tuer. Cela complique la situation. Si elle n’a pas la volonté d’exécuter un simple ordre d’arrêter ses frappes, il pourrait falloir d’importants efforts pour inciter la Russie à vouloir appliquer quelque chose de bien plus important : une coexistence pacifique avec ses voisins pour des décennies », a écrit Zelensky sur ses réseaux sociaux dans la nuit de samedi à dimanche.
Bienvenue dans ce nouveau live
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Au surlendemain de sommet entre Donald Trump et Vladimir en Alaska, ce sont les pays européens qui sont à la manœuvre et réunissent ce dimanche à 14 heures en visioconférence la « coalition des volontaires » alliés de Kiev.