17/8/25 – Acquisition – Chartres, Musée des Beaux-Arts – Tout comme Cimabue, condamné à voir son nom accolé à celui de Giotto, Pérugin reste étroitement lié à son élève, le «  miraculeux Raphaël d’Urbin, qui le surpassa de beaucoup… », selon les mots de Vasari. Et tout comme Giotto, Raphaël fit preuve de talent dès son plus jeune âge, la précocité étant pour les génies une obligation presque contractuelle.



Pierre-Jérôme Lordon (1779-1838)

Raphael Introduced to Perugino, c. 1820–1825

Oil on canvas – 55 × 44 cm

Chartres, Musée des Beaux-Arts

Photo : La Nouvelle Athènes
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Les mythes qui auréolèrent les grands maîtres du passé, et plus particulièrement ceux de la Renaissance italienne, inspirèrent les artistes du début du XIXe siècle, qui…

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