Michel-Edouard Leclerc a marqué les esprits depuis qu’il est à
la tête de l’empire familial. Depuis qu’il a rejoint les rangs de
E.Leclerc, le businessman a su insuffler une énergie nouvelle à
l’entreprise. Sous son impulsion, l’enseigne s’est diversifiée,
lançant des services innovants comme les voyages ou encore la
bijouterie. Et ce, tout en gardant la philosophie qui fait le
succès de l’entreprise, celle du bas prix. Une nouvelle énergie qui
lui a permis d’être élu patron préféré des Français en 2021 par le
magazine Forbes. Mais en plus d’être un grand homme d »affaires, le
septuagénaire est également un homme très engagé.
Un engagement culturel non négligeable
Michel-Edouard Leclerc est un adepte des plateaux de télévision.
En effet,
ce dernier ne manque pas une occasion de s’exprimer sur un sujet
précis. D’ailleurs, lors de son passage sur le plateau de
franceinfo, ce dernier n’avait pas manqué de revenir sur le
lancement depuis de nombreuses années du Fonds Hélène &
Édouard Leclerc pour la culture (FHEL). Un projet mis sur
pied avec pour objectif de soutenir et promouvoir les initiatives
culturelles collectives. Et ce, afin de mieux faire connaître, mais
aussi diffuser la création contemporaine auprès du grand
public.
Pour montrer son engagement, Michel-Edouard Leclerc a
créé une exposition de grande envergure. En plus de cela,
le patron de l’entreprise E. Leclerc a mis à disposition des
Français le manoir familial. “Ce lieu que j’aime, et que j’ai
envie de protéger, pourrait devenir un parc de sculptures ouvert au
public, qui ferait le lien entre nature et culture”,
confiait-il dans les colonnes du Point de vue. Avant d’ajouter :
“Bon nombre de collectionneurs et d’institutions
possèdent des œuvres qu’elles ne peuvent exposer faute de
place. Nous les accueillerons volontiers.”
L’homme d’affaires sans détour sur son incroyable fortune
Aujourd’hui, Michel-Edouard Leclerc est à la retraite. Du coup,
son rôle dans la firme n’est plus que symbolique. Mais, ce dernier
continue de toucher un salaire impressionnant. Toujours lors de son
entretien sur le plateau de franceinfo, le septuagénaire n’a pas
manqué de se livrer sur sa rémunération. “Je ne suis
plus salarié, donc c’est plus des dividendes de mes entreprises que
je touche. Je rappelle que les centres Leclerc ne
m’appartiennent pas. Sur les cinq dernières années, j’ai payé en
moyenne 39 000 euros d’impôt sur la fortune immobilière et 270 000
euros d’impôt sur le revenu”, avait-il confié.
Toutefois, même si le fils du fondateur de l’enseigne Leclerc
reconnaît qu’il est riche, il a tenu à préciser qu’il ne faisait
pas partie des “1000 Français” les plus fortunés. “Je
gagne quelques centaines de milliers d’euros par an, ce
qui est beaucoup par rapport au commun des mortels et ce qui me
permet de faire des choses intéressantes sur le plan
culturel”, avait-il expliqué.
Michel-Edouard Leclerc révèle le
montant pharaonique de ses impôts
La fortune de Michel-Edouard Leclerc ne fait plus aucun doute.
D’ailleurs, lors d’un entretien avec Le Parisien, Cédric Ducrocq,
directeur de la société de conseil Diamart, n’avait pas hésité à se
confier sur le sujet. “Il est riche, mais par rapport à
la notoriété de la marque que sa famille a fondée, ce n’est
rien”, avait-il confié. D’après ce dernier, l’homme
d’affaires évolue plus dans un rôle de “super-consultant”. Mais
avec une telle rémunération, Michel-Edouard Leclerc doit
s’acquitter d’impôts à la hauteur de ses revenus. “Il
précise acquitter entre 200.000 et 250.000 euros d’impôt sur le
revenu par an”, révélait Cédric Ducrocq.
Le directeur n’a pas été le seul à évoquer la fortune du patron
des
enseignes qui proposent des salaires compétitifs sans diplôme.
En effet, Magali Picard, auteur d’un livre d’enquête sur la
rémunération de septuagénaire, s’était également exprimée sur le
sujet. “Son argent lui a permis d’investir dans
l’art et la bande-dessinée, ses deux véritables
passions”, avait-elle révélé. Avant d’ajouter : “C’est le
premier collectionneur privé de BD en France. Il n’est pas dans
l’affichage ostentatoire. Il a une vie très confortable et
n’hésitera pas à louer un jet pour traverser la France et se
rassurera en mettant en avant les milliers d’arbres plantés dans sa
propriété bretonne.”