La maladie d’Alzheimer touche quelque 900 000 personnes en France.
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DÉCRYPTAGE – La molécule pourrait aider à ralentir le déclin cognitif des patients, selon les travaux d’une équipe de chercheurs américains.
Et si un élément naturellement présent dans l’organisme pouvait à la fois expliquer la cause de la maladie d’Alzheimer, et servir de traitement ? La réponse pourrait résider dans le lithium, suggèrent les travaux d’une équipe de chercheurs de la Harvard Medical School (États-Unis). Un nouvel espoir pour les quelque 35,6 millions de malades dans le monde – près de 1 million en France – et leurs proches.
Si l’on ne connaît pas encore les causes exactes de cette maladie neurodégénérative, deux types de lésions sont habituellement observés dans le cerveau des patients : des plaques amyloïdes et des agrégats de protéine tau, qui altèrent le fonctionnement des neurones. Néanmoins, on ne comprend pas encore l’ensemble de la mécanique à l’œuvre dans la maladie. Pour en savoir plus, l’équipe de Harvard, qui a publié ses résultats début août dans la revue Nature , a analysé dans des tissus cérébraux humains post-mortem 27 traces de métaux connus pour leur rôle dans le bon fonctionnement…
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