Les spéculations autour du remplaçant de Daniel Craig dans le rôle de James Bond vont bon train depuis des mois. Tom Holland, Nicholas Hoult, Tom Hardy, Idris Elba… Nombreux sont les prétendants au titre. Pourtant, un seul est favori…
Des costumes de la Régence aux trois pièces sur mesure, il n’y a peut-être qu’un pas. Un pas que Jonathan Bailey s’apprêterait à faire en décrochant le très convoité rôle de James Bond et succéder à Daniel Craig. Sous les projecteurs depuis son apparition dans la série « La Chronique des Bridgerton » en 2022, l’acteur de 37 ans n’a eu de cesse de faire parler de lui. Et ce, toujours en bien. Quant à savoir si cela va suffire pour braquer un Walther PP sur les ennemis… Rien n’est encore joué. En attendant le verdict qui devrait tomber en septembre prochain, voici cinq raisons qui font de Jonathan Bailey, un James Bond plus que crédible :
- Il est très, très sportif
Des pectoraux bien gonflés ne sont pas suffisants pour se glisser dans la peau d’un espion du MI6. La force physique, la discipline et les réflexes sont de rigueur pour les scènes d’action et les cascades spectaculaires. Sur ce volet, Jonathan Bailey ne devrait pas être à la traîne puisqu’il pratique de nombreuses activités sportives telles que le cyclisme, la natation, le paddleboard et l’alpinisme. En 2018, il a même escaladé le versant tibétain de l’Everest, c’est-à-dire environ 5 300 mètres d’altitude.
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Jonathan Bailey dans la série « La Chronique des Bridgerton ».
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- Il est un aventurier crédible depuis « Jurassic World Rebirth »
Aux côtés de Scarlett Johansson dans le dernier « Jurassic World » sorti le 4 juillet dernier, Jonathan Bailey a convaincu les fans de la saga. Ce premier rôle dans une franchise américaine aussi célèbre a conféré un véritable tremplin à l’acteur, lui ouvrant la porte de la cour des grands. Du côté de son personnage, outre son look d’aventurier à lunettes et sa chemisette proprette, il possède une grande intelligence qui fait assurément partie des qualités de 007. De surcroît, sa participation à la clarinette sur le thème musical de son personnage… Le détail original qui fait un bon James Bond.
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Jonathan Bailey dans le film Jurassic World: Rebirth.
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- Il est un acteur de talent
Comme tout bon acteur qui se respecte, Jonathan Bailey a fait ses armes au théâtre. Enfant d’un chef d’entreprise et d’une audiologiste, rien ne le disposait à devenir une star. Pourtant, dès sept ans, il a décroché ses premiers rôles dans des pièces de la Royal Shakespeare Company de Londres. Ensuite, à seulement huit ans, il est apparu à la télévision dans la série « Bramwell » et dans l’adaptation des « Misérables » produite par West End. En 2019, il a été récompensé d’un Laurence Olivier Awards pour son jeu dans la comédie musicale « Company » et en 2014, d’un Satellite Awards et un Critics Choice Awards pour son rôle dans « Fellow Travelers ». À 37 ans, sa filmographie est constituée de déjà dix films et vingt-trois séries télévisées.
Jonathan Bailey lors de la soirée des Olivier Awards au Royal Albert Hall à Londres, Royaume Uni, le 7 avril 2019.
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- Il a la « gueule » de l’emploi
Quoi qu’on en dise, avoir « une gueule » est important pour incarner James Bond. Le regard perçant de Daniel Craig, la mâchoire acérée de Sean Connery, le sourire charmeur de Pierce Brosnan… Il est nécessaire d’avoir ce je-ne-sais-quoi qui rend le spectateur accro. Après avoir incarné le séduisant vicomte Anthony Bridgerton, Jonathan Bailey n’a pas à s’inquiéter de sa plastique. Avec ses yeux bruns ténébreux et ses oreilles légèrement décollées, il possède ce qu’il faut de charme pour ensorceler les fans de 007.
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Jonathan Bailey aux Golden Globes, le 7 janvier 2024 à Beverly Hills.
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- Il n’est pas encore trop connu
Bien qu’il ait passé la 5e vitesse sur l’autoroute du succès, Jonathan Bailey est encore un inconnu pour un grand nombre de spectateurs. Qu’il se rassure, cela lui permet d’être un candidat très crédible pour James Bond puisque les producteurs sont friands d’acteurs de « seconde zone » (le mot est fort, certes) pour modeler à leur façon un héros qui durera dans le temps. Pour ceux qui ne seraient pas encore convaincus, il suffit d’aller voir la récente publicité Martini dont il est le visage, un clin d’œil plus qu’appuyé à la boisson préférée de James Bond.
Jonathan Bailey à la première du film « Jurassic World Rebirth » à Londres, le 17 juin 2025.
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