Le nouveau talent de la famille Kuti, des trios de Georg Philipp Telemann… Découvrez notre sélection de nouveautés éclectiques, à retrouver sur les plateformes de streaming et dans nos playlists “Télérama” mises à jour chaque semaine. Justin Bieber

Justin Bieber Universal Music

Par Le service musiques

Publié le 22 août 2025 à 17h37

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Difficile de s’y retrouver dans toutes ces nouvelles sorties d’albums ? Chaque vendredi, le service Musique de Télérama fait le récap des meilleurs projets musicaux de la semaine — rock, chanson, électro, jazz, classique… — sélectionnés par notre rédaction. Et pour voir l’ensemble des nouveautés, rendez-vous ici. Et abonnez-vous à notre playlist sur votre plateforme préférée.

“Swag”, de Justin Bieber

R’n’B – Parmi les surprises de l’été 2025 (un album de Tyler, the Creator, se baigner dans la Seine, la découverte de la cervelle d’agneau) figure cet album inattendu de Justin Bieber, et plus encore notre intérêt pour son contenu, attisé par un engouement critique mondial. Le sage ado à frange des années 2000, désormais intégralement tatoué, a connu comme toutes les baby stars l’alternance de descente aux enfers et de rédemption, crucifixion par la foule des réseaux sociaux qui le dévorent et le nourrissent. Et, comme sa consœur Miley Cirus récemment, cherche un second souffle en s’offrant dans une fragilité aussi dépouillée que travaillée.

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“Swag”, album inattendu de Justin Bieber, au R’n’B intime et dépouillé

“Inteira”, de Nina Maia

MONDE – Elle revendique parmi ses influences le mythique Clube da Esquina, collectif post-tropicaliste de son Minas Gerais natal, qui ressourça le folklore brésilien au jazz et au psychédélisme anglo-saxon des sixties. Cinquante ans plus tard, la jeune Nina Maia cultive sur son premier album la même luxuriance dans les arrangements, la même douceur baroque, avec des sessions de piano délicat, des gémissements de cuíca comme des synthés en fusion prog rock.

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“Inteira”, premier album rafraîchissant de la Brésilienne Nina Maia

“L’Orguasme”, de Bonnie Banane et Joseph Schiano di Lombo

Les deux trentenaires, qui chantent souvent en canon, uniquement accompagnés d’un orgue d’église, n’ont pas enregistré « un disque de chansons paillardes » comme ils le prétendent. Plutôt une délicate ode au plaisir et à la vie.

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“L’Orguasme”, singulière ode au plaisir de Bonnie Banane et Joseph Schiano di Lombo

“Promises”, d’Estelle Perrault

JAZZ – Parmi les chanteuses de jazz évoluant sous nos latitudes, Estelle Perrault occupe une place à part. Tranquille, assurée, elle s’expose peu et se positionne en musicienne plutôt qu’en vedette. Grave et gracieuse, sa voix en conserve une fraîcheur d’autant plus appréciable qu’elle se coule ici dans des compositions bien troussées et des soieries soul délicates.

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“Promises” installe définitivement Estelle Perrault comme la jazzwoman à suivre

“Magic of the Sale”, de Teethe

POP – Des rythmes contemplatifs, des mélodies minimalistes, des voix plus chuchotées que chantées… Pas de doute, Teethe signe le retour du slowcore, ce genre représenté dans les années 1990 par des groupes aussi éminents que Low ou Spain, champions d’une certaine lenteur mélancolique.

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“Magic of the Sale” de Teethe, un slowcore profond aux mille détails sonores

“Concertos pour violon nᵒˢ 1 et 2”, de Florence Price, dirigé par John Jeter

CLASSIQUE – Yannick Nézet-Séguin n’est pas le seul chef à œuvrer pour la réhabilitation de Florence Price (1887-1953). John Jeter, installé dans cet Arkansas où naquit la compositrice afro-américaine, s’est aussi fait son champion, enregistrant pour Naxos toutes ses pièces avec orchestre.

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“Concertos pour violon nᵒˢ 1 et 2”, de Florence Price, dirigé par John Jeter

“Chapter 1 : Where Does Happiness Come From ?”, de Mádé Kuti

MONDE – Le trentenaire a grandi dans l’effervescence du Shrine, le club nigérian de papi Fela et de papa Femi, puis a été formé comme eux à la musique en Angleterre. Mais il évite la redite et impose son style, pas moins cuivré, mais plus fluide, plus léger.

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Avec “Chapter 1 : Where Does Happiness Come From ?”, Mádé Kuti insuffle son groove lumineux à l’afrobeat

“The Longer This Goes On”, de Forth Wanderer

ROCK – De ses aînés des années 1990, Forth Wanderer a conservé le goût des chansons épiques faites de bouts de ficelle, de la mélodie tendre qui se fait une place au milieu de riffs de guitare acides et bien plus compliqués qu’ils ne paraissent.

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“The Longer This Goes On” : le retour gagnant de Forth Wanderers

“Georg Philipp Telemann – Six Trios 1718”, par Les Timbres et Harmonia Lenis

Deux instruments solistes dont un violon, escortés par une basse continue : telle est la ligne directrice de cet album débordant d’énergie et de fraîcheur. Réunis dans une collaboration franco-japonaise qui porte ses fruits depuis 2010, les ensembles Les Timbres et Harmonia Lenis explorent la délicieuse musique de chambre de Georg Philipp Telemann (1681-1767) à travers ses trios.

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“Georg Philipp Telemann – Six Trios 1718”, par Les Timbres et Harmonia Lenis : une nouvelle collaboration virtuose

“Words Fall Short”, de Joshua Redman

JAZZ – Carrière exemplaire que celle de Joshua Redman. Au début des années 1990, il apparaissait comme un bopper tout feu tout flamme, aujourd’hui il figure parmi les saxophonistes les plus complets et les plus respectés du circuit. Il faut dire qu’il sait entretenir son énergie en s’entourant de musiciens stupéfiants.

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“Words Fall Short”, de Joshua Redman

“Moisturizer”, de Wet Leg

ROCK – Grande devait être la tentation de refaire le coup de Chaise longue, ce tube qui avait propulsé Wet Leg au rang de grand espoir du rock en 2022. Et sur les singles avant-coureurs de ce second album, CPR et Catch These Fists, le duo de l’île de Wight devenu quintet semblait clairement y céder. Rythme effréné, riffs de guitares efficaces, paroles débitées d’une voix aussi sincère qu’ironique, le compte y est. D’une manière plus musclée, et sans la fraîcheur des débuts, forcément.

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“Moisturizer”, de Wet Leg

“Eor”, de Quinquis

ÉLECTRO – « Une flamme vivait en elle pendant longtemps », monte-t-elle à l’aigu, en breton, accompagnée par le chant évanescent du Sud-Africain Desire Marea, qui lui vocalise en zoulou. Émilie Quinquis, qui nous avait envoûté en 2020 avec sa réinterprétation de Monochrome (Yann Tiersen), en compagnie de l’ami gallois Gruff Rhys, parvient sur ce deuxième album à faire sonner la langue d’Alan Stivell comme personne.

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“Eor”, de Quinquis

“Tracks II”, de Bruce Springsteen

ROCK – Un recueil aussi étourdissant qu’inattendu, plus de quatre-vingts chansons pour sept albums jamais publiés, dont certains peuvent se ranger aisément aux côtés de ses chefs-d’œuvre. Comme il ne prend rien à la légère, ni la musique ni la politique, le chanteur n’a pas fouillé ses impressionnantes archives au hasard. Les registres varient, parties de pur plaisir à Nashville, exercices de style façon Burt Bacharach, ruminations mystiques pour un film jamais réalisé et, pur ravissement pour les amateurs, les légendaires bandes dénudées de 1983.

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“Tracks II”, de Bruce Springsteen

“Afim”, de Zé Ibarra

MONDE – Il est l’un des quatre fantastiques de Bala Desejo, groupe de jeunes babas cariocas qui ont génialement réactivé le psychédélisme et le post-tropicalisme des années 70. Ce deuxième album le révèle dans un doux foisonnement orchestral, entre bossa, soft rock et música popular brasileira délurée.

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“Afim”, de Zé Ibarra

“L’Infaillible”, d’Aude Juncker

CHANSON – Les chansons simples se distinguent par leur interprétation. En réécoutant le premier EP d’Aude Juncker, on mesure le chemin parcouru par la chanteuse en dix ans. Sa voix était déjà belle, mais manquait d’intention. Cette fois, sa délicatesse en impose.

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“L’Infaillible”, d’Aude Juncker

The Surrounding Green”, de Fred Hersch

JAZZ – Unanimement respecté pour la qualité inaltérable de sa musique comme pour ses combats, Fred Hersch est une légende vivante du jazz. Au piano, il a su se détacher de l’influence de Bill Evans pour imposer sa poésie propre. On la retrouve partout dans cet album enregistré avec Joey Baron à la batterie et Drew Gress à la contrebasse. — L.-J.N.

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“The Surrounding Green”, de Fred Hersch

Drôle d’oiseau”, de Isha

RAP – À 39 ans, le Bruxellois Isha Pilipili continue de creuser un rap hanté par la mort et les remords mais où perce la lumière, la possibilité de trouver, enfin, une forme de paix. Sur fond de soul music subtilement orchestrée, parvenir à marier ainsi tristesse et amusement n’est pas donné à tous. — E.P.

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“Drôle d’oiseau”, d’Isha

“Tether”, d’Annahstasia

FOLK – Il y a d’abord — et surtout — cette voix. Rauque et grave, presque masculine, assurément sans âge, elle ne ressemble à rien de connu. Elle paraît venir de loin, et pour cause. Annahstasia Enuke signe ici un premier album, mais l’Américaine n’est pas une débutante. — T.R.

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“Tether”, d’Annahstasia

“Live in Berlin 1953-1969”, de Herbert von Karajan et Berliner Philharmoniker

CLASSIQUE – Premier effet de ces vingt-quatre galettes : nous rappeler que Karajan, obsédé par le rendu sonore de ses performances, n’avait pas pour autant sacrifié l’adrénaline du live à la perfection ouatée du studio. Et cela sans écart d’interprétation majeur. — S.Bo.

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“Live in Berlin 1953-1969”, de Herbert von Karajan et Berliner Philharmoniker

“Long Courrier”, d’Areski Belkacem

CHANSON – Dans sa bohème mélodique, où percent guitare chaabi et piano arabo-andalou, il conte les nuits que se racontent le soleil et le vent, les caresses tressées dans les mains, la dérive après les ébats, le désir sacré et les plaisirs essoufflés. Jusqu’à convoquer, au son des crotales gnaouas et de riffs crépusculaires, le spectre du désamour. — A.B.

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“Long Courrier”, d’Areski Belkacem

“Mania”, de Hamza

RAP – Au fil des quinze titres de ce Mania, nom d’une divinité grecque personnifiant la folie, le rappeur-chanteur apparaît plus lisible : son élocution mouillée par les effets de l’autotune est plus claire. Son écriture est également davantage soignée. Au point d’être trop lisse et de verser dans la variété diront certains. — E.P.

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“Mania”, de Hamza

“Carrie & Lowell”, de Sufjan Stevens

FOLK – Malgré l’embarras qu’il confesse aujourd’hui, le chanteur s’est plié gracieusement à l’exercice de la réédition anniversaire, au point d’en façonner lui-même le livret, riche d’une quarantaine de photos intimes et d’un texte qu’il a écrit. Surtout, cette ressortie est accompagnée de sept démos, dont deux titres mis de côté à l’époque. — T.R.

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“Carrie & Lowell”, de Sufjan Stevens

“Ripped and Torn”, de Lifeguard

ROCK – Malgré leur fraîcheur, on ne peut pas vraiment qualifier Lifeguard de jeunes gens modernes. Le regard tourné vers un certain rock, bruitiste et intello, des années 1970-1980, le groupe a parfois des airs de puzzle éclaté de l’histoire récente du rock. — T.R.

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“Ripped and Torn”, de Lifeguard

“Something Beautiful”, de Miley Cyrus

POP – De toutes les pop stars américaines du moment, Miley Cyrus est sans doute celle qui s’est le plus exposée — dans ses déroutes ou ses excès. Ce que ne reflète pas forcément sa discographie, aussi lisse que celle de ses contemporaines. Mais ça, c’était avant ce Something Beautiful, annoncé par la chanteuse comme étant expérimental et porté par les thèmes de la destruction, du chagrin ou de la mort. — T.R.

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“Something Beautiful”, de Miley Cyrus

Wicked Girl Era”, de Lateena X Bony Fly

MONDE – Ce festival de rythmes à twerker, addictifs, met en valeur le flow tranchant de Lateena, qui tchipe, harangue, tacle les hypocrites, affirme sa latinité crue et sensuelle. Le tout compose le manifeste de la diversité caribéenne et d’un dancefloor résilient. — A.B.

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“Wicked Girl Era”, de Lateena X Bony Fly

Songe”, de Sophie Oz

CHANSON – Une grande douceur émane de ce premier album de Sophie Oz. À ne pas confondre avec la pâleur ou l’inconsistance de certaines jolies musiques qu’on écoute distraitement. Celle de Sophie Oz au contraire invite à tendre davantage l’oreille pour profiter des aspérités cachées sous l’élégance et le classicisme de façade. — O.d.P.

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“Songe”, de Sophie Oz

“Black Hole Superette”, d’Aesop Rock

RAP – Sur Black Hole Superette, son dixième album solo, le rappeur au flow métallique œuvre plus que jamais dans les marges du hip-hop. Il continue de mêler à son érudition impressionnante une écriture souvent qualifiée d’impénétrable, voire de cryptique, ainsi qu’un univers sonore d’une richesse intarissable. — J.-B.R.

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“Black Hole Superette”, d’Aesop Rock

Diriaou”, de Kristen Noguès & John Surman

JAZZ – En 1998, Kristen se produisit ainsi avec le saxophoniste et clarinettiste britannique John Surman. Longtemps inédit, l’enregistrement de ce concert instaure un espace étrange, à la fois intime, un peu étouffé, et immense, tel un coin du feu entouré de ténèbres. — L.-J.N.

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“Diriaou”, de Kristen Noguès et John Surman

“Finding De Frank”, de DJ Thierry

MONDE – Pour retrouver une personne disparue, il y a ceux qui se contentent d’un avis de recherche et ceux qui… publient un disque. C’est le cas de DJ Thierry, Français établi au Mexique qui s’est donné pour mission de ressusciter l’obscur De Frank Kakra. — A.B.

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“Finding De Frank”, de DJ Thierry

Der fliegende Holländer”, de Richard Wagner, par l’Orchestre et Chœur de l’Opéra national de Norvège et Edwar Gardner

CLASSIQUE – Après une ballade intense et habitée au premier acte, Lise Davidsen, elle, emploie son puissant soprano, aux aigus conquérants, pour faire de Senta une missionnaire à la volonté d’airain. Ce rééquilibrage des enjeux genrés pourra déconcerter ; il est, dans tous les cas, fort bien défendu. — S.Bo.

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“Der fliegende Holländer”, une version rafraîchissante de l’opéra de jeunesse de Wagner

“Tosca”, de Giacomo Puccini, par l’Orchestre et Chœur de l’Accademia nazionale di Santa Cecilia et Daniel Harding

CLASSIQUE – Dans cette intégrale de l’opéra de Giacomo Puccini, on constate qu’un chef et un orchestre rompus au symphonique peuvent comprendre et restituer l’esprit d’un opéra, conjuguer densité de la pâte orchestrale et clarté des plans sonores, et accompagner ce faisant, avec le théâtre voulu, l’action comme les émotions des personnages. — S.Bo.

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“Tosca”, de Giacomo Puccini : notre critique

“New Vienna”, de Keith Jarrett

JAZZ – New Vienna se présente comme une suite à l’album du Vienna Concert, enregistré en solo le 13 juillet 1991. Il tire sa matière d’un récital donné au Musikverein de Vienne, le 9 juillet 2016, lors de l’ultime tournée de Jarrett. De l’exercice du récital improvisé, Keith Jarrett apparaît une nouvelle fois comme le maître suprême, incontestable. — S.Bo.

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“New Vienna”, de Keith Jarrett

“Ébēm”, de Yamê

RAP – On voit bien ce qui a pu guider Yamê, entouré des musiciens qui l’accompagnent depuis ses débuts sur la scène des jam sessions à Paris. Même si son style hybride est loin de se cantonner au rap, écrivons-le : avec Yamê, la scène hip-hop s’est trouvé le fantastique interprète qui lui manquait. — E.P.

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“Ébēm”, de Yamê

“Get Sunk”, de Matt Berninger

POP – Les vieilles unions ne font pas toujours la force. Matt Berninger le démontre une fois de plus avec ce deuxième album sous son nom, qui offre un salutaire répit à l’héroïsme parfois fatigant de son groupe, The National. Les ingrédients sont pourtant peu ou prou les mêmes : sa voix grave de crooner fatigué, ses textes à la poésie désabusée, et le temps de Bonnets of Pins, un vent épique familier. — T.R.

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“Get Sunk”, de Matt Berninger

“Plouf !”, de Flavien Berger

CHANSON – En as du brouillage de pistes, Flavien Berger enfonce le clou avec ce nouveau projet, dont le titre, en dit long malgré sa brièveté : Plouf ! Soit une revisite des abysses de Leviathan, sorti il y a dix ans, avec l’envie d’y batifoler musicalement, entouré des musiciens Michelle Blades, Kiala Ogawa, Akemi Fujimori, Cédric Laban et Thibaud Merle, réunis sous le nom de La Brume. — O.d.P.

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“Plouf !”, de Flavien Berger

“Never Enough”, de Turnstile

ROCK – Aussi craint qu’attendu, Never Enough arrive quatre ans après la marque indélébile laissée par Glow On, à la fin de l’été 2021. Que faire, alors, après un tel coup ? Sans surprises ébouriffantes, Never Enough choisit de s’assumer comme un Glow On bis, quitte à singer de précédentes bonnes idées. — J.M.

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“Never Enough”, de Turnstile

“Talkin to the Trees”, de Neil Young

ROCK – Entre publication d’archives live et trésors de studio bien gardés, avec ou sans Crazy Horse, Neil Young poursuit sa croisade à forte dominante écologique. Enregistré face au Pacifique dans le studio du gourou Rick Rubin, ces dix nouvelles chansons charrient d’émouvantes confessions personnelles, comme si Neil Young, sentant la fin approcher, se retournait sur sa vie. — J.-B.R.

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“Talkin to the Trees”, de Neil Young