Depuis la faculté de Strasbourg, où les écologistes ont lancé, jeudi, leur première journée d’université d’été, Marine Tondelier l’a confirmé : les élections municipales, pour son parti, constituent « un énorme enjeu ». « Énorme », d’abord, car le scrutin risque d’influencer l’élection présidentielle qui suivra, en 2027. Mais surtout parce que les Verts s’apprêtent, en mars prochain, à être sérieusement concurrencés dans les grandes villes acquises par le parti en 2020, lors d’une vague verte inédite (Lyon, Bordeaux, Strasbourg, Poitiers, Besançon, Tours…).