Bruce Dickinson affirme que jouer dans des théâtres ou des clubs avec son projet solo ne lui pose aucun problème, une expérience qu’il apprécie autant que les concerts géants avec Iron Maiden.
Bruce Dickinson savoure l’intimité des petites salles
Dans une interview accordée à WRIF, le chanteur d’Iron Maiden a expliqué qu’il n’avait aucune frustration à se produire dans des lieux plus modestes avec les membres de son projet solo : “La comparaison n’a pas lieu d’être. J’aime autant jouer dans un théâtre que dans un stade. Ce qui compte, c’est le moment, que ce soit devant trois personnes ou 300 000“. Il ajoute qu’il adapte légèrement sa manière de chanter et de se déplacer selon la taille de la salle, mais que l’objectif reste le même : offrir la meilleure expérience possible au public.
Dickinson précise aussi que cette proximité change l’énergie partagée avec les spectateurs et les musiciens. Pour lui, le lien direct qui se crée dans une petite salle n’est pas inférieur à celui ressenti dans une arène, mais simplement différent.
Un futur album déjà en préparation
Parallèlement à sa tournée The Mandrake Project Live 2025, l’artiste continue de travailler sur un nouvel album solo attendu pour 2027. Comme évoqué ici, il souhaite enregistrer ce disque en conditions live, avec les mêmes musiciens qui l’accompagnent sur scène. Ce projet comptera des passages particulièrement lourds, mais aussi des instants plus délicats, une direction qu’il a récemment décrite comme “lourde à vous broyer les os”, validée par Steve Harris selon cet entretien.
Entre ses concerts plus intimistes et ses ambitions discographiques, Dickinson semble déterminé à explorer toutes les facettes de sa créativité, sans chercher à opposer les formats, mais plutôt à les considérer comme complémentaires.