Chaque année, lorsque le Festival Lumière dévoile le lauréat de son prix , on se prend à y croire : et si c’était « Elle » ? Meryl Streep, grande actrice américaine, la plus primée de l’Histoire (3 Oscars pour 21 nominations, entre beaucoup d’autres), 50 ans de carrière, des centaines de films et séries, une Palme d’honneur à Cannes en 2024… L’actrice sera à l’honneur à la rentrée à l’Institut Lumière de Lyon avec une grande rétrospective.
L’équipe a réussi à sélectionner 25 films particulièrement représentatifs de sa carrière. On en a choisi 10, nos grands coups de cœur (certainement subjectifs !), dans l’ordre chronologique, et on vous explique pourquoi (anecdotes à l’appui). Tous seront projetés à l’Institut Lumière.
‘‘Kramer contre Kramer’’ (1979)
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
Ce n’est pas son premier film, mais son premier grand rôle et son premier Oscar (meilleure actrice dans un second rôle). Le procès d’un divorce (d’où le titre), miroir de la société de l’époque, où l’on commence à s’interroger sur la monoparentalité, le droit des pères… Une prouesse, les relations entre l’actrice et son partenaire, Dustin Hoffman, ayant été particulièrement houleuses.
L’anecdote en + : le film aurait inspiré à Daniel Balavoine la chanson Mon fils, ma bataille
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
‘‘Le choix de Sophie’’ (1982)
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
Ce drame, adapté du livre culte éponyme de William Styron, apporte à Meryl Streep son premier Oscar de meilleure actrice. Elle a perdu plus de 10 kg pour entrer dans le personnage de Sophie, une Polonaise rescapée d’un camp de concentration nazi.
L’anecdote en + : polyglotte, et comme elle l’a souvent fait, elle a appris l’allemand et le polonais pour donner un accent crédible à son personnage.
‘‘Out of Africa’’ (1985)
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
Meryl campe une Danoise qui tombe amoureuse de l’Afrique et du (beau) Robert Redford. Le film est signé Sydney Pollack et a été récompensé de 7 Oscars.
L’anecdote en + : le gouvernement du Kenya interdisant les animaux sauvages sur les tournages, l’équipe a dû faire venir des lions dressés de… Californie ! L’un d’eux a fait la peur de sa vie à Meryl Streep.
‘‘La Mort vous va si bien’’ (1992)
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
Ce film de Robert Zemeckis, devenu culte, est une comédie horrifique que ne renierait pas Tim Burton. Meryl Streep y campe l’un des personnages d’un trio amoureux, Madeline, actrice narcissique et obsédée par la jeunesse, au côté de Goldie Hawn. Les deux rivales auront l’éternité pour continuer à se déchirer…
L’anecdote en + : Robert Zemeckis, aussi réalisateur de la saga Retour vers le futur , y a glissé un clin d’œil : Helen (Goldie Hawn) a pris le philtre de jeunesse le 26 octobre 1985… la date de départ vers le passé de la DeLorean.
‘‘Sur la Route de Madison’’ (1995)
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
Beaucoup d’actrices étaient pressenties pour jouer le rôle féminin dans cette adaptation, mais Clint Eastwood, le réalisateur, qui joue aussi dedans, voulait absolument (sur les conseils de sa mère), Meryl Streep. Il l’a eue, et cette rencontre entre deux monstres sacrés réunis pour la première fois à l’écran, restera à jamais l’une des plus belles histoires d’amour (tristes) du cinéma. Leur complicité crève l’écran.
L’anecdote en + : les ponts de Madison existent vraiment, dans l’état de l’Iowa aux Etats-Unis. Celui de Cedar Bridge (où Francesca et Robert se rencontrent au début du film) a brûlé il y a une vingtaine d’années et a été remplacé par une réplique.
‘‘Le Diable s’habille en Prada’’ (2006)
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
Oui, Meryl Streep excelle aussi dans les comédies. La preuve avec Le Diable s’habille en Prada où elle incarne Miranda Priestly, rédactrice en chef influente et tyrannique d’un magazine de mode. Un personnage inspiré d’Anna Wintour, à la tête de Vogue jusqu’à cette année. On adore la détester, et inversement.
L’anecdote en + : une suite (alors que Meryl Streep est généralement contre) est actuellement en tournage à New York. Sortie prévue au printemps 2026.
‘‘Mamma Mia !’’ (2008)
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
Cette comédie musicale, basée sur les tubes du groupe Abba, a été jouée partout dans le monde avant d’être adaptée à l’écran. Meryl Streep (qui rêvait d’être cantatrice et a chanté dans une dizaine de films) est une véritable « dancing queen ». Elle ne fait qu’apparaître dans la suite (qui est en fait un préquel du premier volet).
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
L’anecdote en + : Benny Andersson et Björn Ulvaeus, les deux hommes du groupe Abba, impliqués dans la production, font des apparitions clins d’œil dans les deux films !
‘‘Julie et Julia’’ (2009)
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
Une histoire vraie, où Meryl Streep incarne Julia Child, celle qui a fait connaître la cuisine française aux Américains dans les années 50.
L’anecdote en + : il y a une grande « french touch » dans le film. Il a été tourné à Paris, il est question de notre cuisine et la bande originale est signée par un Français, le bien nommé Alexandre Desplat. Y figure même Mes emmerdes de Charles Aznavour.
‘‘La Dame de fer’’ (2011)
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
Si le biopic a été critiqué avant même sa sortie, le jeu de Meryl Streep, magistrale en Margaret Thatcher, première et unique femme premier(e) ministre du Royaume uni, fait l’unanimité et lui a d’ailleurs valu son 3e Oscar.
L’anecdote en + : si elle a une fois encore travaillé son accent, Meryl Streep a surtout passé beaucoup de temps (plus de 2 h par jour) au maquillage.
‘‘Don’t look up : déni cosmique’’ (2021)
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
Ce film, récompensé par 4 Oscars, est un ovni. Sorti sur la plateforme Netflix (et projeté en avant-première dans deux salles en France dont l’Institut Lumière), il aligne un scénario génial et un casting 5 étoiles. Leonardo Di Caprio, Jennifer Lawrence, Jonah Hill, Ariana Grande et une Meryl Streep désopilante en présidente des Etats-Unis cupide et incompétente.
L’anecdote en + : De quel président s’inspire le personnage de Meryl Streep, aka Janie Orlean ? Le réalisateur, Adam McKay, l’a révélé : un mix de Reagan, Clinton, G.W. Bush, Obama et, bien sûr, Trump.
Rétrospective Meryl Streep du jeudi 28 août au dimanche 5 octobre à l’Institut Lumière. 5 rendez-vous (soirées, ciné-conférences…) à partir de 6,50 €. Programme complet et billetterie sur https://www.institut-lumiere.org/programme/meryl-streep