Donald Trump recevant Xi Jinping dans sa résidence de Mar-a-Lago (Floride), en avril 2017. ALEX BRANDON/AP/SIPA
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Coup de tonnerre. Au matin du 9 novembre 2016, le monde se réveille. Donald Trump, showman chouchou des médias, clown star de la téléréalité, magnat de l’immobilier, est élu 45e président des Etats-Unis. De l’autre côté du Pacifique, le président Xi Jinping est lui aussi très surpris par la nouvelle. Le secrétaire général du Parti communiste chinois avait, comme tout le monde, anticipé la victoire de la démocrate Hillary Clinton, peu appréciée à Pékin pour ses engagements sur les droits de l’homme, du temps où elle était encore secrétaire d’Etat de Barack Obama.
Pourtant, Donald Trump ne s’est pas montré plus clément envers la Chine lors de sa campagne. A l’été 2016, alors en pleine quête de l’investiture républicaine dans l’Indiana, l’homme d’affaires scande que Pékin est responsable de la perte de pouvoir d’achat des ouvriers de l’Etat du Midwest. Plus en…
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