Fauve Hautot, en avril 2025, sur le tapis rose de Canneséries.
Castel Franck/ABACA
Invitée, ce samedi 23 août sur TF1, de «50’ Inside», la danseuse et actrice s’est confiée à Isabelle Ithurburu sur son rapport à la vie et son envie de fonder une famille.
Figure emblématique de la version française de «Danse avec les stars», personnage clé de la récente série Rien ne t’efface, d’après Michel Bussi, deux programmes de TF1, la danseuse et désormais actrice Fauve Hautot, était l’invitée de «50’ Inside», ce samedi 23 août 2025.
Au micro d’Isabelle Ithurburu, la jeune femme s’est confiée sur son enfance, sa carrière, ses ambitions, ses fragilités, son rapport à son corps : «Je n’avais pas vraiment d’attente quand j’étais enfant, tout ce que je savais c’est que je voulais danser (…) Mon père m’a toujours éduquée en me disant fais ce que tu veux ma fille. C’est incroyable, mes parents m’ont éduquée avec une grande liberté», dit-elle dans le portrait qui lui est consacré.
Pas à l’ordre du jour
Bien sûr, il a aussi été question de la maternité. «Ça reste envisagé», acquiesce-t-elle. «Oui, oui, j’espère que ça viendra un jour. Après, quand? Pourquoi? Je ne sais pas… Mais je laisse la vie et le destin faire». À 39 ans, elle assume qu’avoir un enfant n’est pas à l’ordre du jour dans l’immédiat.
Sans ambages, elle précise : «Tout ça vient du fait de s’accepter beaucoup plus soi. Je crois que c’est un truc de grandir, d’assumer qui on est réellement, d’essayer d’arrêter de se planquer derrière une espèce de masque ou de filtre. Depuis que j’ai activé ce truc-là d’un peu plus m’aimer moi, c’est hyperagréable en fait. Je trouve ça très chouette».
À l’aube de ses 40 ans, celle qui partage la vie de Romain Guillermic, également danseur, et de 9 ans son cadet, est bien dans sa peau, dans son âge et dans ses projets : «J’aime bien les anniversaires, j’aime bien le fait de vieillir, de grandir. Je ne suis pas du tout quelqu’un qui regarde en arrière. Au contraire, je trouve ça génial de devenir femme, d’avoir un corps un peu plus fatigué parfois quand tu sors de la danse par exemple. J’accueille ça avec une grande joie».