Un nouveau chapitre s’ouvre pour la matinale de France Inter !
Ce lundi 25 août,
Nicolas Demorand
a accueilli pour la première fois
l’humoriste

Marie s’infiltre
, de son vrai nom Marie Benoliel, recrutée pour
la saison 2025-2026 en compensation du départ de Lison Daniel, en
fin de saison dernière.

L’humoriste de 33 ans a été introduite à l’antenne à 8h58
précises, mais son entrée en scène ne s’est pas passée
comme prévu.
Alors que Nicolas Demorand pensait que son
annonce serait suivie d’un jingle, le studio de France Inter s’est
retrouvé plongé dans un silence gênant. « Il
est 8h58… Et non, il n’y a pas de jingle pour
vous ! »,
a lancé l’ex-duo de
Léa Salamé
, terriblement gêné.

« Evidemment c’est ce que je mérite »

Bien qu’un peu mal à l’aise, Marie s’infiltre a tourné
la situation à l’humour.
« Evidemment, évidemment c’est
ce que je mérite », a-t-elle répliqué avant de se lancer tant
bien que mal dans sa première chronique.

Et quelle chronique ! Profitant de son temps de parole,
l’humoriste connue pour ses vidéos satiriques sur les réseaux
sociaux s’est avouée très angoissée par son arrivée sur les
ondes de France Inter.

Une première riche en émotion pour
Marie s’infiltre

« Hier, en relisant pour la 70e fois ce joli texte
parfait, on m’a fait une remarque dessus, un micro-détail, et
j’ai commencé à chialer, a-t-elle avoué.
Comme un gros bébé Cadum avec morve au nez et roulage par
terre. ‘C’est pas drôle, c’est à chier !’ C’est alors que j’ai
compris que, sous couvert de n’en avoir rien à foutre du regard des
autres, Madame culot qui fait des f*** à tout le monde, en fait,
j’étais terrifiée de déplaire, de ne pas être à la
hauteur. »

Elle a toutefois fini sur un message d’espoir. « On y est. Je
te parle donc à toi. Et tu vois bien, j’ai encore à nouveau envie
de pleurer. Mais plus parce que j’ai peur, parce que j’ai envie de
te parler directement. Toi, qui as peut-être la trouille aussi, et
qui cherches cette reconnaissance. Toi qui as peut-être peur du
lundi matin, de la rentrée, de ton boss, de la fin de l’été, de
cette chronique que tu trouves à chier… (…) Viens, je
t’emmène les lundis matins sur mon vélo pour te parler directement.
On remplacera notre peur par l’envie. »
Pour une
première, ça, c’est une première !