Le 7 mars 2024, le maire de Malzéville, Bertrand Kling, annonçait sur les réseaux sociaux l’installation par la préfecture pour trois semaines, sur la route de contournement d’un « radar dit de chantier sur la zone à 50 km/heure, entre le rond-point de la rue Chanoine-Boulanger et la rue Louis-Pasteur ». Il annonçait son retrait à l’issue de cette période mais prévenait de son retour « d’ici 2 mois » et demandait aux usagers d’être « respectueux des limitations de vitesse ».
Le retour a pris plus que deux mois puisque le radar n’a été réinstallé qu’au début du mois d’avril. Cette réinstallation n’a pas plu à tout le monde, puisqu’il a été « badigeonné » avec des inscriptions et des dessins obscènes.
La préfecture a été avisée
Ce radar autonome peut calculer la vitesse des véhicules dans les deux sens de circulation. Au-delà de la vitesse limite autorisée, le passage du véhicule déclenche le flash de l’équipement.
Là, il ne constate plus rien du tout… Malgré l’affichage d’une peine d’emprisonnement possible de 5 ans et d’une amende de 75 000 €, la zone de flashage a été peinte en blanc, empêchant pour l’instant tout déclenchement.
La préfecture en a été avisée par la mairie.