“Dès que je poste l’annonce, je reçois une quarantaine de messages dans la journée”, raconte Thomas*, propriétaire d’un studio meublé dans le quartier des Arceaux, à Montpellier. Certains vont jusqu’à lui proposer d’avancer une importante somme en liquide pour réserver l’appartement. Isabelle*, qui possède plusieurs logements à Montpellier, confirme la tension du marché : “Mon studio étudiant, lui, n’est jamais vide.”