Loïs Boisson après sa victoire contre la Hongroise Anna Bondar, lors de la finale du tournoi de tennis WTA de Hambourg, le 20 juillet 2025. Loïs Boisson après sa victoire contre la Hongroise Anna Bondar, lors de la finale du tournoi de tennis WTA de Hambourg, le 20 juillet 2025. DANIEL BOCKWOLDT / AP

Loïs Boisson a des objectifs, et elle se donne les moyens de ses ambitions. Révélation du dernier Roland-Garros, la Française la mieux classée à la WTA (46ᵉ) a annoncé, le 23 août, la fin de sa collaboration avec Florian Reynet, 39 ans, l’entraîneur qui l’accompagnait depuis deux ans. Plus que la nouvelle en elle-même, c’est son timing qui a pu surprendre, alors que la tenniswoman s’apprête à disputer le deuxième tournoi du Grand Chelem de sa carrière, l’US Open. La Dijonnaise entre en lice, mardi (match programmé sur le court numéro 10, à partir de 19 heures, heure de Paris) face à la Suissesse Viktorija Golubic (77ᵉ à la WTA).

« Ça faisait un moment qu’on avait un peu de mal à se comprendre [avec Florian Reynet] », a expliqué Loïs Boisson, en conférence de presse. « Je le remercie quand même pour tout (…). On a fait quand même du bon boulot ces dernières années et je lui souhaite le meilleur pour la suite », a-t-elle ajouté à l’intention de l’ancien 273ᵉ mondial, également ex-sparring-partner de Caroline Garcia.

La fin de cette collaboration a été actée le 18 août après l’élimination de la Française dès son entrée en lice au WTA 250 de Cleveland, dans l’Ohio, où elle a été battue par la Suissesse Jil Teichmann (83ᵉ) en trois sets : 6-4, 1-6, 6-4. C’est l’ancienne joueuse Pauline Parmentier qui sera à ses côtés à Flushing Meadows. L’entraîneuse de l’équipe de France pour la Coupe Billie Jean King était déjà présente à Hambourg en juillet quand Loïs Boisson a décroché son premier titre sur le circuit WTA.

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