Publié le
26 août 2025 à 11h20
Depuis plus d’un mois, Bertrand Cantat est de nouveau au centre des débats. Le 24 juillet 2025, le parquet de Bordeaux avait décidé de rouvrir une enquête sur la mort de Krisztina Rady, ex-femme du chanteur. En 2010, elle avait été retrouvée pendue à son domicile bordelais tandis que Bertrand Cantat dormait dans ce logement.
Une décision prise après la sortie du documentaire diffusé sur Netflix autour de Bertrand Cantat, le 27 mars dernier. Le troisième épisode est notamment consacré à l’histoire entre la femme de lettres hongroise et l’ex-chanteur de Noir Désir, qui l’avait quittée alors qu’elle venait d’accoucher. Condamné pour le meurtre de Marie Trintignant à Vilnius en 2003, Bertrand Cantat avait été soutenu par son ex-compagne lors du procès et les années suivantes.
La famille contre la réouverture de l’enquête
Très rapidement, la famille de Krisztina Rady s’est exprimée sur cette décision prise par le parquet de Bordeaux. Le 1er août, les avocats annoncent que les proches de la défunte s’opposent à l’enquête sur « d’éventuels faits de violences volontaires » commis par le chanteur.
Le lundi 25 août, Andrea Rady, sœur de Krisztina Rady, a donné plus de détails auprès de RTL. Pour elle, les investigations devaient aller jusqu’au bout à l’époque des faits, en 2010. « Après tout ce temps, ça n’a plus de sens », estime la sœur de l’ex-femme de Bertrand Cantat, par l’intermédiaire de son avocat.
Également, l’avocat a précisé à RTL que le père de Krisztina Rady est récemment décédé et que la mère, âgée de 82 ans, souffre de troubles cognitifs qui ne lui permettent plus de s’exprimer sur ce dossier.
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