Décidément le Canada reste une terre très hostile pour les industriels de l’armement français dont les offres sont régulièrement retoquées par le ministère de la Défense canadien. Après un échec en décembre 2017 (frégates FREMM), Naval Group a échoué à nouveau à convaincre le Canada alors que le chantier naval a pourtant largement fait ses preuves de compétiteur ces dernières années aux Pays-Bas (Barracuda), en Indonésie (sous-marins Scorpène), en Grèce (frégates FDI)… Sa proposition d’équiper la Marine royale avec des sous-marins Barracuda à propulsion conventionnelle a été balayée par Joël Lightbound, ministre de la Transformation du gouvernement, des Travaux publics et de l’Approvisionnement, et Stephen Fuhr, secrétaire d’État en charge de l’approvisionnement en matière de défense. Inexplicable…