Résumé
Lors d’un direct sur Europe 1, un auditeur a tenu des propos insultants envers Emmanuel Macron, poussant Pascal Praud à interrompre l’entretien et à présenter des excuses aux auditeurs.
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Scène surréaliste ce mardi 26 août 2025 sur Europe 1. En plein direct, un auditeur n’a pas hésité à lancer des insultes à l’encontre d’Emmanuel Macron. Face à une telle situation, Pascal Praud s’est vu dans l’obligation d’intervenir.
Après avoir qualifié la plupart des partis politiques « d’escrocs », l’homme, visiblement « révolté », s’en est violemment pris au chef de l’État.
Gros dérapage en direct d’Europe 1
« Quand je vois un président comme Macron… enfin, c’est votre président, ce n’est pas le mien, parce que pour moi ce n’est pas un président. Un président qui embrasse Zelensky dans le cou, ce n’est pas un président, ce serait plutôt une tarlouze« , a-t-il lancé. Des propos inacceptables qui ont poussé l’animateur à mettre un terme à l’interview.
« On arrête l’entretien avec Christophe », a déploré Pascal Praud. « Ce n’est pas possible, à l’antenne, on ne peut pas insulter les gens. »
Avant ce dérapage, l’auditeur était pourtant « intervenu plusieurs fois la saison passée » sans jamais dépasser les limites.
« Jamais il ne s’était exprimé de cette manière-là, c’est important de le dire, c’est parfaitement inadmissible« , a confié le journaliste « C’est honteux, les mots qui ont été employés sur cette antenne. »
Une décision ferme après les insultes envers Emmanuel Macron
Par la suite, Pascal Praud s’est confondu en excuses : « Je suis désolé. Dans ce cas, je présente mes excuses aux auditeurs qui ont été choqués à juste titre par ce qu’ils viennent d’entendre. C’est une émission où la liberté d’expression est totale, où l’on essaie de parler de choses sérieuses parfois avec un peu de légèreté, et pourquoi pas dans un esprit polémique, mais en aucun cas ce type d’insultes ne peut arriver à l’antenne ».
Dépassé, ce dernier a alors proposé de ne plus appeler Christophe. Une décision qui illustre clairement que les limites ont été largement dépassées. Face à un comportement aussi extrême, il a en effet fallu agir avec fermeté.
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