Avant, être capi­taine de l’équipe de France de la Billie Jean King Cup était un « boulot » convoité. D’abord parce qu’i y avait un gros chèque à la clé mais aussi parce que le capi­taine avait la mission de faire de vrais choix pour composer une équipe. 

Maintenant que notre réser­voir s’est vidé, être capi­taine revient à ne pas faire de choix et aller jouer des équipes exotiques au bout du monde ou au fin fond de l’Europe. 

Pas éton­nant donc que la piste d’Amélie Mauresmo soit d’ac­tua­lité comme l’a annonce l’Equipe.

Après, Amélie Mauresmo ne pourra pas faire de miracle mais comme elle a un peu de temps à côté de son pres­ti­gieux « job » de direc­trice de Roland‐Garros, elle devrait trouver un accord conve­nable avec son employeur.