« L’administration Trump a été claire: il est dans l’intérêt de notre sécurité nationale de tenir l’Organisation de libération de la Palestine et l’Autorité palestinienne pour responsables de ne pas respecter leurs engagements et de compromettre les perspectives de paix », peut-on lire dans le communiqué.
Le département d’Etat a accusé les Palestiniens de se servir de la justice à des fins illégitimes en se tournant vers la Cour pénale internationale et la Cour internationale de justice pour résoudre leurs contentieux avec Israël.
L’Autorité palestinienne doit mettre fin aux « tentatives pour contourner les négociations à travers des guerres judiciaires internationales » et aux « efforts pour obtenir la reconnaissance unilatérale d’un Etat palestinien », dit le texte.
Les États-Unis ne sont pas censés refuser des visas aux fonctionnaires se rendant à l’ONU, dont le siège est à New York, en vertu d’un accord que le département d’Etat assure respecter en autorisant la mission palestinienne auprès des Nations unies.
La 80e Assemblée générale de l’ONU se tiendra du 9 au 23 septembre.