Par
Liane Lazaar
| Rédactrice

Liane Lazaar est rédactrice web rattachée au pôle TV de Purepeople.com. Elle connaît autant le parcours de Jean-Pierre Pernaut sur TF1 que les derniers rebondissements des candidats de télé-réalité et a un goût prononcé pour les histoires de coeur.

Coup dur pour cette ancienne candidate de « Koh-Lanta ». Ce vendredi 29 août 2025, elle a appris une bien mauvaise nouvelle. Elle ne va pas pouvoir reprendre son travail comme prévu au moment de la rentrée attendue dans quelques jours. De quoi impacter fortement son quotidien avec quatre enfants à charge.

« Il y a une famille derrière… » : Maman de quatre enfants, cette ancienne candidate de Koh-Lanta se retrouve privée de travail à trois jours de la rentrée

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La vie de Thomas et Myriam a changé grâce à Koh-Lanta 2021 (édition baptisée Les Armes secrètes). S’ils n’ont pas remporté l’émission de TF1, ils ont gagné bien plus : l’amour. Ils se sont en effet rencontrés lors du tournage du programme et ne se sont pas quittés depuis. Un an après leur participation, ils ont même accueilli leur premier enfant ensemble, un petit garçon qu’ils ont appelé Leyan. Déjà l’heureuse maman de deux garçons, nés d’une précédente relation, Myriam a ensuite donné naissance à une petite fille, baptisée Nelya et arrivée en début d’année 2025.

Un quotidien à six qui requiert alors forcément beaucoup d’organisation. Problème, Myriam se retrouve aujourd’hui bloquée professionnellement. En effet, ce vendredi 29 août, la professeure d’Anglais a fait savoir qu’elle n’avait pas trouvé d’établissement pour la rentrée… laquelle a lieu le 1er septembre, soit dans trois jours. « Bon bah, pas de rentrée pour moi…. Pour une prof, c’est quand même un comble. C’est une situation loin d’être agréable », a-t-elle regretté en story Instagram.

Myriam dans une situation très instable professionnellement depuis trois ans

Et pour elle de déplorer une vie professionnelle instable depuis plusieurs années maintenant : « Je ne m’en suis pas trop mal sortie pendant 6-7 ans, on m’appelait début juillet, on me proposait plusieurs établissements et je n’avais qu’à choisir ce qui m’arrangeait le plus en 10 secondes chrono mais ça fait trois ans que c’est une catastrophe. Soit c’est un pauvre mail la veille de la rentrée soit on m’annonce que je vais dans un collège une semaine avant la rentrée… Puis la veille, j’apprends par hasard que je n’y suis plus pour finalement qu’on me dise cinq jours plus tard que si si finalement j’y vais et que je dois commencer ‘cet après-midi' ».

Alors c’est simple, Myriam n’en peut plus de cet état des choses qui impacte toute sa vie de famille. « C’est clairement lourd. Sous prétexte d’être en CDI et payée, il faut être à leur disposition à la minute. Il y a une famille derrière, une organisation à avoir. Là, je suis incapable de donner des horaires à la crèche de Nelya, je ne sais pas si je dois inscrire Leyan au périscolaire du matin ni celui du soir ou même à la cantine… J’ai demandé à être à mi-temps cette année pour éviter au max d’emmener les enfants à l’ouverture de la crèche/école mais ça se trouve mon emploi du temps va me faire commencer tous les jours à 8h », craint-elle, attendant des nouvelles pour travailler d’un jour à l’autre. De quoi la faire se questionner sur son avenir : « J’aime mon métier mais le système est en train de m’en dégoûter. Heureusement qu’en Anglais, j’ai plusieurs autres opportunités qui peuvent s’offrir à moi... Affaire à suivre. »