« Il est temps d’ouvrir une voie ancrée dans la proximité, l’écoute, le pragmatisme et la prise en compte des besoins de tous les habitants, loin des postures idéologiques, des joutes verbales et des décisions hors sol ». C’est dans cet état d’esprit que l’union des démocrates et indépendants (UDI) a annoncé par un communiqué se lancer dans la campagne des élections municipales et métropolitaines des 15 et 22 mars 2026.
Les premiers « chefs de file » pour les municipales, désignés par le parti présidé au plan national par le sénateur Hervé Marseille et par Christophe Geourjon, le référent local, sont Marion Carrier (Bron), Stéphane Leroux (Collonges-au-Mont-d’Or), Agatha Miquel (Neuville-sur-Saône), Alexis Quentin (Rillieux-la-Pape), Lionel Haberlé (Saint-Didier-au-Mont-d’Or), Marylène Millet (Saint-Genis-Laval), Hervé Morel (Villeurbanne) et Maurice Iacovella (Vénissieux).
« Je n’ai pas de position taboue »
À Lyon, le parti de centre droit a investi pour le seul scrutin d’arrondissement, Adrien Petitjean (2e), Audrey Soria (5e), Claude Dussart (6e), Rosalie Kerdo Belibi (7e), Moussadeck Boulegroum (8e) et Clément Charlieu (9e). Pas de liste municipale, donc, pour l’heure. Le signe d’une éventuelle alliance dès le premier tour, voire au second ? « Je n’ai pas de position taboue » répond Christophe Geourjon, à l’évocation du nom de Jean-Michel Aulas. À condition, toutefois, « d’être d’accord sur une vision commune du projet ».
Pour les élections métropolitaines, les têtes de listes de 9 circonscriptions sur 14 désignées sont Marylène Millet (Lônes et Coteaux), Adrien Petitjean (Lyon-Centre), Claude Dussart (Lyon-Nord), Clément Charlieu (Lyon-Ouest), Christophe Geourjon (Lyon-Sud), Marion Carrier (Porte des Alpes), Maurice Iacovella (Portes du Sud), Karine Lucas (Val de Saône) et Hervé Morel (Villeurbanne).