Donald Trump, Emmanuel Macron, Giorgia Meloni et Friedrich Merz, le 18 août à la Maison-Blanche.

Donald Trump, Emmanuel Macron, Giorgia Meloni et Friedrich Merz, le 18 août à la Maison-Blanche. ANDREW CABALLERO-REYNOLDS / AFP

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Pour l’ancien patron de la Banque centrale européenne Mario Draghi, auteur d’un discours remarqué à Rimini le 22 août, 2025 marque la fin d’une illusion européenne – l’idée selon laquelle son marché de 450 millions de consommateurs conférerait automatiquement à l’Union européenne une influence sur le cours des choses. Ces derniers mois, l’Europe a été réduite à subir les décisions d’autres puissances sur le plan géopolitique (négociations sur l’Ukraine, conflit Iran-Israël, écrasement de la bande de Gaza) comme économique (droits de douane américains, intimidations chinoises).

L’historienne Nicole Gnesotto, vice-présidente de l’Institut Jacques Delors et pionnière de l’idée d’autonomie stratégique européenne, répond au « Nouvel Obs ».

Mario Draghi dresse un constat d’échec de l’approche européenne actuelle, décrivant l’UE comme la spectatrice des grands enjeux mondiaux. Un…

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