Après avoir galopé sur la Seine devant des millions de spectateurs, puis parcouru la France avec des haltes aussi iconiques que le Mont-Saint-Michel, Zeus rentre au bercail. Et ce retour n’est pas anodin, c’est ici, à Nantes, qu’il a vu le jour dans les ateliers de l’Atelier Blam, sous la direction d’Aurélien Meyer, le même créateur à qui l’on doit la vasque olympique qui a accueilli la flamme à Paris.


Un monstre de poésie et de technologie

Haut de plusieurs mètres, vêtu d’un manteau argenté scintillant, Zeus n’est pas qu’un exploit mécanique. Il incarne tout un imaginaire, celui d’une ville où l’art, la technique et la folie créative se croisent au quotidien. Sa présence place Graslin viendra remplacer, le temps de l’événement, l’œuvre de Prune Nourry présentée cet été dans le cadre du Voyage à Nantes.
Mais oubliez l’idée d’une simple statue figée. Nantes Métropole et Sanofi, coproducteurs de la tournée, annoncent une scénographie pensée sur mesure pour cette escale finale avec mise en lumière spectaculaire, animations et ambiance sonore pour créer un dialogue entre mythologie antique et innovation contemporaine.





Un rendez-vous gratuit et ouvert à tous

Pendant dix jours, Nantais, touristes et simples curieux pourront venir admirer Zeus gratuitement et en accès libre. Que vous passiez en sortant du travail, en balade du dimanche ou en visite express dans la ville, il sera impossible de manquer ce géant d’acier et de poésie, trônant devant le théâtre Graslin.

Rendez-vous du 19 au 29 septembre pour saluer Zeus une dernière fois avant qu’il ne disparaisse dans les coulisses de l’Histoire.