EN BREF

  • Le 1er septembre, Pascal Praud a ouvert son émission sur
    CNews avec un éditorial critique, mentionnant François Bayrou et
    saluant Sonia Mabrouk.
  • Sonia Mabrouk a marqué les esprits lors d »une interview
    le 31 août, posant des questions incisives au Premier ministre sur
    la situation économique.
  • Les réseaux sociaux ont vivement réagi à l’intervention
    de Sonia Mabrouk, qualifiée de « magistrale », suscitant des débats
    sur l’efficacité des autres journalistes.

La rentrée rouvre le bal des émissions matinales, dont
L’heure des pros, sur CNews. Chaque matin,
Pascal Praud
et son équipe décryptent l’actualité
politique
jusqu’à 10 heures sur la chaîne. L’ex
journaliste sportif débute toujours son émission par un éditorial
trempé dans l’acide. C’est dans cette matière hautement abrasive
qu’il a ouvert celle du 1er septembre.

Il s’en est notamment pris à
François Bayrou
et aux propositions émises ces derniers temps.
Il a aussi remercié
Sonia Mabrouk
pour son intervention de la veille.
« Vous avez été tout à fait remarquable et je pense que
c’est unanime, heureusement que vous avez été là, et je n’en dis
pas davantage »
, a-t-il lâché, admiratif.

CNews : Sonia Mabrouk impressionne Pascal Praud

Le journaliste, animateur de télévision et de radio faisait
référence à une interview événement diffusé par quatre chaînes
dimanche 31 août depuis Matignon. Le Premier ministre a répondu aux
questions de Sonia Mabrouk (CNEWS), Myriam Encaoua
(Franceinfo)
,
Darius Rochebin
(LCI) et de Marc Fauvelle
(BFMTV)
au sujet de la situation économique inquiétante de
la France.

Dans cet entretien, Sonia Mabrouk s’est fait remarquer par
certaines questions incisives. Lors d’une de ses interventions,
elle est notamment revenue sur une « question importante »
que l’homme politique « évitait » depuis le début, celle de la
« responsabilité ».
« Vous nous dites en sincérité que
vous avez voté contre les dettes, mais vous avez voté pour la
dette, (…) vous avez un rôle actif dans sa précipitation (…)
alors n’êtes-vous pas responsable de la situation autant que les
autres, monsieur François Bayrou ? », a-t-elle lancé, faisant
référence au passé politique du disciple d’Emmanuel
Macron
.