Robin Wright et Sean Penn aux Screen Actors Guild Awards en 2009 à Los Angeles.
Hahn Lionel/ABACA

Quinze ans après son divorce avec Sean Penn, l’actrice de House of Cards s’est confiée au Times à propos de leur union et des regrets qu’elle traîne encore derrière elle, notamment autour de l’éducation de leurs deux enfants, Dylan et Hopper, aujourd’hui âgés de 34 ans et 32 ans.

Ils étaient l’un des couples phares du début des années 2000, avant leur divorce «dévastateur» en 2010, selon les propres mots de l’actrice. Mariés pendant près de quinze ans, Robin Wright et Sean Penn ont formé un couple explosif et incontournable, dont sont nés deux enfants : Dylan, aujourd’hui âgée de 34 ans, et Hopper, 32 ans. Dans une interview donnée au Times  et publiée ce samedi 30 août, l’actrice de Forrest Gump s’est confiée sur ses années de vie commune avec l’acteur oscarisé, l’éducation donnée à leurs deux enfants et ses regrets à propos de celle-ci.

«J’ai un énorme regret en tant que mère et j’ai vécu les retombées de ce regret pendant de nombreuses années avec mes enfants. Je n’étais pas assez dure avec eux», a déclaré l’actrice de 59 ans au quotidien britannique, sous-entendant que dans son couple, Sean Penn était celui qui assumait le rôle plus autoritaire.


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Un rôle qu’il n’a cependant pas assez joué à ses yeux. «Mais il était absent la plupart du temps. Il revenait et était le policier, puis il me laissait avec le reste. (…) Ensuite, j’adoucissais le coup. Nous étions tous les deux des extrêmes. Ils n’ont pas eu cette zone grise au milieu, et c’est ce dont ils avaient besoin», regrette-t-elle.

«Est-ce qu’il est vivant ?»

En tant que mère de deux enfants, Robin Wright s’est aussi confiée sur les craintes qu’elle a pu connaître au cours de leur adolescence. «Chaque jour, si le téléphone sonne, vous vous demandez : “Est-ce qu’il est vivant ? Est-elle vivante ?”. J’ai vécu cela pendant tant d’années avec les deux», se rappelle-t-elle. Des craintes bien fondées. En 2018, la police du Nebraska découvre 14 grammes de marijuana, quatre pilules d’amphétamine et trois grammes de champignons dans la voiture de son fils Hopper, alors âgé de 24 ans. Un an plus tôt, il avait déjà déclaré avoir suivi une cure de désintoxication sur les recommandations de son père, en raison d’une addiction à la méthamphétamine. Heureusement pour elle, son fils semble à nouveau dans le droit chemin aujourd’hui. «Ils sont tous les deux dans une très bonne position en ce moment», se rassure Robin Wright.

De son côté, à bientôt 60 ans, elle semble plus épanouie que jamais. Nouveau compagnon, nouvelle vie au Royaume-Uni… «C’est un amour et juste un bon adulte décent. (…) Je suis vue et aimée pour ce que je suis», conclut-elle à ce sujet. Ses planètes sont plus que jamais alignées.