Que faisaient ces deux ressortissants tunisiens, sans papier et défavorablement connus des services de police, avec un butin aussi faramineux dissimulés, dans leurs sous-vêtements ? « Quand ils ont été interpellés, rien ne laissait penser qu’ils avaient réellement conscience de la valeur des bijoux. Ils étaient très calmes, très sûrs d’eux », rapporte une proche du dossier.