Depuis 2022, la présence de ces substances chimiques surnommées les polluants éternels est bien avérée dans l’eau et les sédiments du grand port de Lyon. Mais le propriétaire du site et son gestionnaire veulent poursuivre les analyses avant de déterminer d’éventuelles mesures concrètes à mettre en œuvre.

La préfecture explique qu’il faut faire de nouvelles investigations afin de « disposer d’analyses solides ». La Compagnie Nationale du Rhône indique « qu’elle poursuit le travail » visant à quantifier et établir l’origine de la pollution aux PFAS dans les eaux souterraines et les sédiments des darses ».

Depuis 1975, plusieurs études sur la nappe et les sols ont montré des concentrations élevées en hydrocarbures. Les teneurs…