Il ne s’était pas exprimé depuis la conférence de presse du Premier ministre, la semaine dernière. Alors qu’une partie des députés LR souhaitent ne pas voter la confiance à François Bayrou, le 8 septembre, Gérard Larcher appelle les parlementaires à la « responsabilité ». À ses yeux, une dissolution, pourtant souhaitée par une partie de sa famille politique, et notamment Nicolas Sarkozy, n’apporterait pas la clarification nécessaire.

Vous n’avez pas réagi à la décision de François Bayrou de demander un vote de confiance le 8 septembre. Comment la comprenez-vous ?