Florent Pagny, 63 ans, poursuit son chemin musical. Invité dans
Sept à Huit sur TF1, ce dimanche 31 août 2025, le chanteur s’est
livré face à
Audrey Crespo-Mara. L’occasion pour l’artiste, en pleine
promotion et toujours combatif
après son cancer, de revenir sur son rapport au temps et à la
vie. Et surtout d’évoquer une question intime : où se
voit-il passer le reste de ses jours ?
C’est une interrogation que beaucoup de fans se posent, tant
Florent Pagny a multiplié les allers-retours entre la
France et la Patagonie au cours de sa carrière. Avec sa
franchise habituelle, il a répondu sans détour. Pour lui, l’avenir
reste partagé, entre l’ancrage familial de l’Hexagone et son
attachement profond à l’autre bout du monde.
Florent Pagny se confie sur la fin de sa vie
Un dilemme que
l’interprète de Savoir aimer a accepté d’éclaircir
devant les caméras. Alors qu’Audrey
Crespo-Mara lui demandait où s’écrirait son avenir, Florent
Pagny a donné un début de réponse. “J’ai toujours quelque chose
à faire à Paris et en France. Je serai toujours vers
Montfort (Montfort-l’Amaury dans les Yvelines), où
on vit”, a-t-il assuré.
Avant d’ajouter qu’il garderait aussi “toujours des
week-ends pour faire un saut ici (en
Bourgogne)” et qu’il continuerait de voyager “dans
l’hémisphère sud, en Patagonie, à la bonne saison,
printemps-été”. Une vie qu’il imagine désormais comme un
équilibre entre ses terres de cœur.
« On ne sait pas quand notre vie va
s’arrêter »
Au fil de l’entretien, le chanteur a livré une réflexion plus
intime encore sur le temps qui passe et la nécessité de se
projeter. “On ne sait pas toujours ce qui va se passer demain…
Tout à l’heure, on parlait de Où on va mourir (…) On ne sait pas
quand notre vie va s’arrêter et puis moi, il me faut
toujours des projets”, a-t-il confié, avec un calme
qui a marqué les téléspectateurs.
Un témoignage qui révèle un homme apaisé, qui continue de se
tourner vers l’avenir malgré les épreuves.
Florent Pagny n’a en effet jamais cessé d’affirmer son besoin
de créer, de construire et de rêver. “Comme ça, ma vie,
elle ne s’arrête jamais”, a-t-il conclu face à la
journaliste. Ces mots résonnent comme une philosophie, une manière
de défier l’incertitude de la maladie et de célébrer la vitalité
qu’il conserve.