Leur rôle est avant tout de courir après les « malfrats ». Les gendarmes du PSIG (peloton de surveillance et d’intervention) de Nancy sont plus des chasseurs de délinquants que des bons samaritains. Mais l’un n’empêche pas forcément l’autre. « Nous ne sommes pas là pour faire que de la répression », assure ainsi Arnaud, un jeune adjudant de l’unité.
La preuve ce mardi. Il était aux environs de 17 h 30. L’adjudant revenait à la caserne du PSIG à Jarville après avoir patrouillé dans les environs de Nancy en compagnie de deux collègues, Maxime, un adjudant, et Erwan, un maréchal des logis chef….