Son nom de famille est bien connu des Stéphanois. Il fait tout de suite référence à l’épicerie fine centenaire de la rue Pointe-Cadet. Mais dans sa vie, Francine n’a pas connu que la boutique et la fabrique de pâtes, élaborées depuis quatre générations par la famille Cornand.

« Je suis aussi une ancienne de Manufrance », lance fièrement cette coquette et pétillante dame. Et malgré les années, Francine ne peut pas s’empêcher de regretter sa disparition.

>> Chez Cornand, depuis plus de 100 ans, toute la famille met la main à la pâte

La fermeture de Manufrance, « un vrai gâchis » pour Francine Cornand

« C’était vraiment une belle maison. Il en sortait des produits de qualité, entièrement fabriqués ici, chez nous à Saint-Étienne. Sa fermeture a été un tel gâchis que même aujourd’hui, j’en garde un peu…