Longtemps considéré comme une maladie de la cinquantaine et au-delà, le cancer colorectal touche aujourd’hui de plus en plus de personnes jeunes. Les statistiques montrent une augmentation de près de 3,6 % par an des cas chez les moins de 50 ans en Angleterre, une tendance observée aussi dans d’autres pays occidentaux. Ce phénomène inquiète les spécialistes, d’autant qu’il survient parfois chez des patients en bonne santé, actifs et sans antécédents familiaux. Pour le docteur Karen Zaghiyan, chirurgienne oncologue américaine, la clé réside dans une meilleure vigilance face aux symptômes, un dépistage adapté et des choix médicaux éclairés. Voici les six vérités qu’elle partage dans une vidéo sur les réseaux sociaux.

  1. Être jeune et sans antécédents familiaux ne protège pas totalement

« Je suis heureuse que vous vous sentiez bien et que vous n’ayez pas d’antécédents familiaux, mais vous pouvez quand même avoir un cancer colorectal », avertit le docteur Zaghiyan. Une coloscopie reste l’examen de référence pour dépister précocement des polypes avant qu’ils ne se transforment en cancer.

  1. Ne pas se contenter d’un diagnostic hâtif

Les saignements rectaux ne doivent jamais être banalisés. « Si votre médecin vous dit qu’il s’agit d’hémorroïdes sans même vérifier, changez de médecin », insiste la spécialiste. Une évaluation approfondie est indispensable, car les symptômes du cancer colorectal (sang (…)

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