Lundi, le 8 septembre 2025, Harry sera à Londres pour présider les WellChild Awards, une cérémonie caritative qu’il soutient depuis plus de 15 ans. Parrain de l’association, il a toujours tenu à être présent à cet événement dédié aux enfants malades, même depuis son installation aux États-Unis.
Cette date coïncide avec un moment particulier : le troisième anniversaire de la disparition de la reine Elizabeth II. Officiellement, aucun rendez-vous n’est prévu avec le roi. Mais la presse britannique évoque avec insistance une rencontre privée entre père et fils.
Les relations sont glaciales depuis près de vingt mois, marquées par la sortie du livre de Harry, Le Suppléant, qui critiquait notamment son frère William et la famille royale. Depuis quelques mois pourtant, les signaux d’apaisement se multiplient : Harry a confié vouloir se rapprocher de son père, surtout depuis l’annonce de son cancer.
De son côté, Charles regrette de peu connaître ses petits-enfants, Archie et Lilibet. S’il y a rencontre, elle devrait rester confidentielle, sans photo officielle. Le roi ne souhaite pas éclipser l’hommage à sa mère par un « sommet de la paix » trop médiatisé. Selon la presse, le château de Balmoral, en Écosse, résidence privée et hautement symbolique, pourrait offrir le cadre idéal pour un face-à-face intime
La réconciliation est-elle à portée de main ?
Un an après une communication quasiment rompue, Buckingham et l’équipe du prince Harry ont repris contact. Une étape vue comme un signe encourageant d’apaisement.
Reste à savoir si ce retour à Londres sera l’occasion d’un véritable rapprochement familial, ou simplement un passage éclair centré sur l’action caritative du duc de Sussex.
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