On promettait l’enfer aux Olympiennes pour leurs retrouvailles avec l’élite. Difficile, effectivement, de penser autrement avec comme premier match un déplacement à Lyon, face à l’une des meilleures formations d’Europe. Un gros test d’entrée, qui allait en dire plus sur cet OM version 2025-26, un promu avec un projet qui a fière allure et qui s’est fait remarquer grâce à un mercato intéressant.
Certes, les Marseillaises se sont inclinées (3-1) et il serait malhonnête de dire que le score ne reflète pas la physionomie de la rencontre, tant les Rhodaniennes et leur pléiade d’internationales (dont certaines avaient été ménagées) ont dominé les débats hier sur la pelouse du Groupama Stadium (68% de possession, 14 tirs à 3).
Mais les joueuses de Dalin Anrifani, propulsé sur le devant de la scène après la mise à pied de Frédéric Gonçalves (qui a tout de même été annoncé par le speaker d’OL Lyonnes…), ont montré de belles choses. « On ne s’est pas senti sous l’eau, on a vraiment rivalisé, soulignait Mathilde Bourdieu, qui a adouci la note en marquant dans les arrêts de jeu (90+ 1). Lyon, c’est ce qui se fait de mieux, derrière elles ont été très costaud dans les duels. Pour celles qui décou…