C’était un de ces moments de vérité qui en disent long sur la valeur d’une équipe. Et la vérité, c’est qu’après avoir battu Marseille, Lille et Lyon, le Racing a une nouvelle fois montré à Monaco qu’il avait l’étoffe d’un candidat à l’Europe et, sans doute, à la plus prestigieuse de ses compétitions. En ce samedi soir venteux, il a réussi à neutraliser une ASM qui avait aligné six succès dans son stade en 2025 et qui y a donc lâché ses premiers points de l’année.

Même si un énorme Djordje Petrovic lui a tiré sur la fin une grosse épine du pied, il s’est montré aussi solide que le Rocher qui surplombe le stade Louis-II. Incassable ou presque.

Les Bleus ont cependant par moments souffert, notamment lors d’un premier quart d’heure où ils ont eu du mal à se mettre dans le rythme, mais sans que des Monégasques dominateurs ne se montrent véritablement dangereux. Malgré quelques ballons chauds, le Serbe n’a finalement été que peu mis à contribution. Son premier arrêt significatif intervient…