« Nous pensons que la colère et la soif de revanche sont mauvaises conseillères », a ajouté le ministre, cité par l’agence étatique Tass. « Quand nos anciens partenaires occidentaux reviendront à la raison et voudront revenir faire du business en Russie, nous n’allons pas leur tourner le dos. Mais nous examinerons sous quelles conditions les affaires pourront reprendre. Et bien sûr, nous garderons à l’esprit qu’après avoir fui, encouragés par leurs dirigeants politiques, ils ont démontré qu’ils n’étaient pas fiables. »